Avec nous-même, en nous-même, nous sommes si proche, que nous avons tendance à zoomer très précisément sur de très petits détails.
Nous oublions de voir plus loin que le bout de notre nez et/ou de la pensée dominante, de l’état d’esprit principal, du moment ou du jour, de la globalité de nos symptômes, de nos besoins, de nos expériences.
Nous hyper focalisons.
Nous ne situons pas notre pensée dans le temps et dans l’espace, nous ne la mettons pas souvent en relation avec les autres pensées d’avant, d’après, simultanées, les autres émotions, les autres couleurs de notre vie.
Nous vivons par bribes en oubliant tout le tableau.